Génocide arménien 1915

Semaine de la Mémoire et de l'Engagement au sein du lycée Thierry Maulnier à Nice du 25 au 29 avril 2016

Dans le cadre du Volet Mémoire, du 25 au 29 avril 2016, le lycée Thierry Maulnier de Nice a organisé une très belle semaine consacrée à la mémoire, l'engagement, la citoyenneté et la Solidarité Internationale avec un cycle de conférences, de témoignages, de projections de film, de pièces de théâtre....autour des trois génocides du 20ème siècle : le génocide arménien, la Shoah et le génocide au Rwanda

En présence des personnalités politiques de la région, Adolphe Colrat, préfet des Alpes-Maritimes, Michel-Jean Floc'h, Inspecteur d'Académie des Alpes-Maritimes, Dominique Estrosi-Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes, adjointe au maire de Nice, Charles Scibetta, conseiller départemental, maire de Carros et Pascal Rostan, proviseur du lycée, des conférenciers de tous horizons, journalistes, écrivains, sociologues, historiens, médecins, témoins et rescapés, sont venus s'exprimer devant les élèves de l'établissement et échanger avec eux : Marcel Kabanda président de l'association Ibuka. Pinar Selek, écrivain et sociologue, Hélios Azoulay, compositeur et écrivain, Janine Altounian, essayiste et traductrice, Gaudhiose Luhaye, chercheur en éthique à l'Université de Strasbourg, Beata Umubyeyi Mairesse, auteure franco-rwandaise, Francine Mayran, psychiatre, écrivain et peintre.

Le programme des conférences

Intervention de Janine Altounian : Survivance, traumatisme et transmission intergénérationnelle.

25/04/2016
Lycée Thierry Maulnier - Nice
Semaine de la commémoration : Mémoire, Engagement, Citoyenneté et Solidarité Internationale

Semaine de la Mémoire et de l'Engagement au sein du lycée Thierry Maulnier à Nice du 25 au 29 avril 2016

Dans le cadre du Volet Mémoire, du 25 au 29 avril 2016, le lycée Thierry Maulnier de Nice a organisé une très belle semaine consacrée à la mémoire, l'engagement, la citoyenneté et la Solidarité Internationale avec un cycle de conférences, de témoignages, de projections de film, de pièces de théâtre....autour des trois génocides du 20ème siècle : le génocide arménien, la Shoah et le génocide au Rwanda
En présence des personnalités politiques de la région, Adolphe Colrat, préfet des Alpes-Maritimes, Michel-Jean Floc'h, Inspecteur d'Académie des Alpes-Maritimes, Dominique Estrosi-Sassone, sénatrice des Alpes-Maritimes, adjointe au maire de Nice, Charles Scibetta, conseiller départemental, maire de Carros et Pascal Rostan, proviseur du lycée, des conférenciers de tous horizons, journalistes, écrivains, sociologues, historiens, médecins, témoins et rescapés, sont venus s'exprimer devant les élèves de l'établissement et échanger avec eux : Marcel Kabanda président de l'association Ibuka. Pinar Selek, écrivain et sociologue, Hélios Azoulay, compositeur et écrivain, Janine Altounian, essayiste et traductrice, Gaudhiose Luhaye, chercheur en éthique à l'Université de Strasbourg, Beata Umubyeyi Mairesse, auteure franco-rwandaise, Francine Mayran, psychiatre, écrivain et peintre.

Semaine de la Mémoire et de l'Engagement
25/04/2016
Lycée Thierry Maulnier - Nice

« Marseille : les rescapés du Génocide » : Emission du Dimanche 24 avril 2016 - 9h30 à 10h00 - France 2

 

A l'occasion du 101ème anniversaire des commémorations du génocide des Arméniens, l'émission "Chrétiens orientaux foi, espérance et traditions" diffusée le 24 avril 2016 a consacré son émission à l'arrivée et à l'installation des Arméniens à Marseille. 

« Marseille : les rescapés du Génocide »

Dans les années vingt, Marseille a vu débarquer sur le port de la Joliette près de 100 000 rescapés du Génocide. Certains sont partis en remontant le Rhône à la recherche de travail, d’autres en Amérique. Mais plus de 35 000 sont restés sur place. Ils ont été accueillis par la petite communauté locale qui était déjà présente dans des camps de transit ou des foyers. Après un temps de reconstruction personnelle, ils ont trouvé du travail, construit leur maison, tout en bâtissant huit églises/écoles à travers la ville. Ces chrétiens se sont implantés dans des villages en se regroupant par région d’origine. Ils sont le témoignage d’une foi vécue et de leur volonté de vivre après avoir connu l’horreur.

Cette émission illustre bien les dernières lignes du Journal de Vahram Altounian : 

« En novembre 1919 on a pris le bateau et on est arrivé à Marseille sept jours plus tard, c’est-à-dire en décembre. Le 2 décembre, le soir nous étions à Lyon. Trois mois plus tard, j’ai compris que mon frère voulait s’en aller à Paris. Il m’a emmené avec lui [...] Le 7 aout, c’était le mariage d’Artine. Moi, je suis resté ici; eux, ils sont partis à Paris pour se marier à l’église arménienne. Ils y ont célébré aussi le mariage de Manoug.»

Marseille : les rescapés du Génocide
24/04/2016
France 2 : Chrétiens orientaux foi, espérance et traditions

Janine Altounian racontée par Tigrane Yégavian sur 100 Lives, le site qui rend hommage à ceux qui ont aidé les Arméniens il y a 100 ans

JANINE ALTOUNIAN No 223

par Tigrane Yegavian

Lorsqu’elle prend la parole, ses mains – minces et ridées - font des gestes précis. Le temps passe, mais cette grande dame à l’allure sobre et élégante n’a rien perdu de sa vivacité … ainsi que de son franc-parler. Esprit fin, pétri d’intelligence Janine Altounian est avant tout une enfant de la première génération des Arméniens de France, de ceux qui ont récréé un foyer à la force du poignet. Ils lui ont transmis l’amour du travail et de la persévérance. Et si bien plus tard, elle a trouvé dans la psychanalyse sa voie, c’est pour mieux se réapproprier son héritage traumatique au-delà des barrières générationnelles.

Lire la suite de l'entretien sur le site de 100 Lives

Janine Altounian racontée par Tigrane Yégavian sur 100 Lives, le site qui rend hommage à ceux qui ont aidé les Arméniens il y a 100 ans
20/02/2016
Site de 100Lives.com

Janine Altounian racontée par Tigrane Yégavian sur 100 Lives, le site qui rend hommage à ceux qui ont aidé les Arméniens il y a 100 ans

A PROPOS DE 100 LIVES
100 LIVES est une initiative conduite par Vartan Gregorian, Ruben Vardanyan et Noubar Afeyan, et d'autres personnalités d'origine arménienne, qui sans les actes de bravoure commis il y a un siècle, n’auraient jamais pu réaliser leurs œuvres respectives.

Notre objectif est double: il s’agit de rendre hommage à ceux qui ont aidé les Arméniens il y a 100 ans et, fidèles à leur esprit, poursuivre leur action en aidant les personnes et organisations qui maintiennent vivant cet héritage.
 

RÉVÉLER LES HISTOIRES QUI DOIVENT ÊTRE RACONTÉES....

Même aux moments les plus sombres de l'histoire humaine, quelques lueurs subsistent. Il y a cent ans, un grand nombre de personnes courageuses sont venues aider les Arméniens, au moment où ils en avaient le plus besoin. Grâce à leurs actions, un peuple a survécu malgré toutes les embûches. Aujourd'hui, la générosité anime le cœur de chaque Arménien. 100 ans plus tard, il est désormais temps de partager ces histoires.

français
arménien

ARMENIA, FERITA APERTA (Arménie, plaie ouverte) : documentaire réalisé par Werner Weick le 10 octobre 2007

ARMENIA, FERITA APERTA : témoignage d’un Suisse d’origine arménienne 

Ce documentaire réalisé par Werner Weick, pour la série «Il filo d’oro» et diffusé le 10 octobre 2007 sur TSI, la télévision suisse, est fondé sur le témoignage d’un Suisse d’origine arménienne, Sarkis Shahinian, depuis des années sur la voie de la reconnaissance du génocide à l’encontre de son peuple : un million et demi de personnes déportées et massacrées en 1915 par le régime des Jeunes Turcs. La réalité de ce génocide continue à être niée par les autorités d’Ankara et cette obstination engendre chez les descendants des victimes une obsédante soif de justice et de vérité. Interviews avec les chercheurs et écrivains Raymond Kévorkian, Yves Ternon, Janine Altounian, Sen Arevshadian, Samuel Karapétian.

22 mars - Salon du Livre, Paris - '' Le rôle des intellectuels dans la prévention des génocides ''

Dans le cadre des dédicaces, sur le stand Arménie : Mémoire et justice

Le XXème siècle a connu trois génocides : le massacre des Arméniens en 1915, celui des Juifs durant la IIème Guerre mondiale, celui des Tutsis au Rwanda en 1994, auquel on peut ajouter les massacre des Cambodgien par Khmers rouges de 1975 à 1979. Quel est le rôle que peuvent jouer les intellectuels dans la prévention des crimes de masse ? Peut-on et doit-on passer de l’espace littéraire et académique à l’espace politique ?

22/03/2015
Paris XV - Porte de Versailles
Mémoire et justice

16 mars 2015, Bruxelles, Palais des Académies - Journée d'étude : « Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ? » organisée par la Fondation Auschwitz – Mémoire d’Auschwitz


La prochaine journée d'étude de l'ASBL Mémoire d’Auschwitz, intitulée «Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien », aura lieu le lundi 16 mars à Bruxelles au Palais des Académies.
Le génocide des Arméniens de Turquie (1915-1916) suscite toujours de nombreux débats. D’une part, l’obstination des gouvernements turcs de nier cette qualification est en opposition radicale avec sa reconnaissance par de nombreux gouvernements. D’autre part, les communautés arméniennes militent pour cette reconnaissance en construisant la mémoire publique de ce génocide.
 

Programme et Vidéo

11 h 50  : Intervention de Janine Altounian (Paris) : "Comment traduire en mots l’expérience de son propre effacement rencontré lors d’un voyage en Turquie ?"

16/03/2015
Bruxelles - Palais des Académies
Quelle(s) mémoire(s) pour le génocide arménien ?
Voir la video

25 au 28 mars 2015 - Paris, EHESS - Colloque « Le génocide des Arméniens de l'Empire ottoman dans la Grande Guerre. 1915-2015 : cent ans de recherche »


Le colloque international organisé par le CSI, le Conseil scientifique international pour l'étude du génocide des Arméniens « Le génocide des Arméniens de l'Empire ottoman dans la Grande Guerre. 1915-2015 : cent ans de recherche » se tiendra à Paris, du 25 au 28 mars 2015 sous le haut patronage du Président de la République, François Hollande. Organisé par le Conseil scientifique international pour l’étude du génocide des Arméniens (CSI), sous la présidence d’Yves Ternon : comment aborder les événements ayant conduit à la destruction de la population arménienne de l’Empire ottoman ? Comment tenter de comprendre le contexte politique, idéologique et militaire du génocide ? Depuis cent ans, la recherche mobilise l’histoire, mais aussi les sciences sociales en général, et l’approche comparée des génocides du XXe siècle. Plusieurs spécialistes, issus de dix États, reviennent sur ces 100 années de recherche.

Le colloque s'articule à la parution en mars 2015 du livre collectif Le génocide des Arméniens. Un siècle de recherche (1915- 2015) chez Armand Colin publié par le Conseil scientifique international pour l’étude du génocide des Arméniens, sous la direction de Annette Becker, Hamit Bozarslan, Vincent Duclert, Raymond Kévorkian, Gaïdz Minassian, Claire Mouradian, Mikaël Nichanian, Yves Ternon et Satenig Toufanian.

A l’occasion de la tenue à Paris, du 25 au 28 mars 2015, du colloque international « Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman dans la Grande Guerre. 1915- 2015 : cent ans de recherche », cet ouvrage réunit les contributions scientifiques présentées à la Sorbonne, au Mémorial de la Shoah, à l’École des hautes études en sciences sociales et à la Bibliothèque nationale de France. Ce colloque, introduit par le président de la République, est organisé par le Conseil scientifique international pour l’étude du génocide des Arméniens (CSI), avec le soutien de la Mission du centenaire 2015 et de nombreuses institutions savantes.
Un siècle après le déclenchement à Constantinople, le 24 avril 1915, de l’extermination des Arméniens ottomans par l’État unioniste, la recherche internationale démontre par cette publication l’étendue de la connaissance scientifique sur le premier génocide contemporain. Cet ouvrage s’inscrit dans le mouvement des études sur les génocides, en plein développement en France comme dans le monde. Le centenaire de 1915 marque un tournant dans la résonnance publique des savoirs scientifiques les plus élevés et l’affirmation d’une conscience internationale de prévention des génocides.

Sommaire du livre
Communiqué de Presse

27/03/2015
EHESS - Paris
Le génocide des Arméniens de l'Empire ottoman dans la Grande Guerre. 1915-2015 : cent ans de recherche
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Durée : 42 mn
Janine ALTOUNIAN - Dikran KYOUMJIAN : Regards croisés sur l’effacement des traces ou le fantôme arménien

Journée scientifique du 4 juin 2015 sur les "Violences collectives et génocides : l’après" organisée par l’ALFEST à l'Ecole du Val de Grâce à Paris

ALFEST, l'Association de langue française pour l’étude du stress et du trauma, organise le 4 juin 2015 à l'Ecole du Val de Grâce à Paris, une journée scientifique sur les Violences collectives et génocides : l’après. A cette occasion, Janine Altounian, traductrice et essayiste,  interviendra sur « Le dégagement, au cours de la cure et par l’écriture, mais dans certaines conditions sociopolitiques, des pulsions de vie enfouies dans un héritage traumatique ».
Nous rencontrons souvent dans divers lieux d’aide aux victimes des personnes consultant pour des souffrances liées aux situations de violences collectives qui ont pour noms guerres, massacres collectifs ou génocides...
Questionner « l’après », c’est soulever quelques-unes des questions suivantes : Que deviennent les personnes impliquées dans les violences collectives ? Que transmettent-elles à leur descendance des blessures et des ressources mobilisées pour continuer à vivre ou à survivre, comment leur descendance reçoit cet héritage et agit sur lui pour en désamorcer la puissance mortifère et se tourner vers la vie ? Enfin dans quelles modalités créatives et avec quelles visées thérapeutiques les cliniciens peuvent-ils intervenir afin que les personnes portant les séquelles directes ou transgénérationnelles des drames renouent avec la vie et avec l’humanité ? Ou encore : comment tenir compte, dans nos interventions, du caractère collectif des agressions et des contextes culturels propres aux populations qui ont été violentées ?

04/06/2015
Ecole du Val de Grâce à Paris
Violences collectives et génocides : l’après
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