Héritage d’Arménie. Entretien avec Janine Altounian. Propos recueillis par Annie Franck in La (Nouvelle) Quinzaine littéraire n° 1193 du 1° au 15 mai 2018
revue enfance-ado
Comment, chez un adolescent arménien, le lien à sa mère fut un facteur de survie au génocide
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Nouvelle_Revue_Psychosociologie
Entretien avec Janine Altounian : Force de résistance, plaisir et traduction dans la langue de l’autre – Par Élise Pestre
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Janine Altounian, née à Paris de mère et de père survivants du génocide arménien (âgés respectivement de 4 et de 14 ans en 1915), a mené un travail qui s’exprime dans ce qu’elle nomme une « écriture d’analysante » au travers de plusieurs psychanalyses et de livres écrits au cours de l’élaboration de cet héritage traumatique.

Annie Franck : Votre histoire, avec ce qu’elle comporte d’un héritage de la grande histoire, vous a personnellement sensibilisée à la présence des fantômes. Comment ceux-ci se sont-ils manifestés pour vous ?

Article (réservé aux abonnés) publié dans le n°1193 (01 mai 2018) de la Nouvelle Quinzaine Littéraire