
Comment, chez un adolescent arménien, le lien à sa mère fut un facteur de survie au génocide
17 juin, 2018
Force de résistance, plaisir et traduction dans la langue de l’autre (Entretien avec Janine Altounian par Élise Pestre)
27 octobre, 2018Janine Altounian, née à Paris de mère et de père survivants du génocide arménien (âgés respectivement de 4 et de 14 ans en 1915), a mené un travail qui s’exprime dans ce qu’elle nomme une « écriture d’analysante » au travers de plusieurs psychanalyses et de livres écrits au cours de l’élaboration de cet héritage traumatique.
Annie Franck : Votre histoire, avec ce qu’elle comporte d’un héritage de la grande histoire, vous a personnellement sensibilisée à la présence des fantômes. Comment ceux-ci se sont-ils manifestés pour vous ?
Article (réservé aux abonnés) publié dans le n°1193 (01 mai 2018) de la Nouvelle Quinzaine Littéraire.