Janine Altounian, née à Paris de mère et de père survivants du génocide arménien (âgés respectivement de 4 et de 14 ans en 1915), a mené un travail qui s’exprime dans ce qu’elle nomme une « écriture d’analysante » au travers de plusieurs psychanalyses et de livres écrits au cours de l’élaboration de cet héritage traumatique.
Annie Franck : Votre histoire, avec ce qu’elle comporte d’un héritage de la grande histoire, vous a personnellement sensibilisée à la présence des fantômes. Comment ceux-ci se sont-ils manifestés pour vous ?
Article (réservé aux abonnés) publié dans le n°1193 (01 mai 2018) de la Nouvelle Quinzaine Littéraire.

