Rencontre du 2 mai 2012 du séminaire EHESS « Non-lieux de l’exil » coordonné par Alexandra Galitzine-Loumpet : "le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte"

Cette rencontre s'nscrit dans le cadre du programme de recherche du séminaire de l'EHESS/CNRS « Non-lieux de l’exil » fondé en 2011 par Alexandra Galitzine-Loumpet et Alexis Nuselovici et hébergé à la Fondation Maison des sciences de l'homme (2012-2015).

Coordonnée par Alexandra Galitzine-Loumpet, la rencontre du 2 mai a pour thème " le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte" avec Janine Altounian, Boris Chukhovich et Anouche Kunth.

I
 

J’apporterai un exemple qui cherche à montrer comment, chez un héritier de survivants exilés, la « pulsion à traduire » peut promouvoir aussi bien le travail de la cure et de l’écriture que l’activité de traduction. Dans les postures à l’œuvre dans ces deux modes d’activités linguistiques, ce besoin de traduire naît d’une nécessité à défier paradoxalement l’impossibilité de la traduction, soit d’un plaisir, soit d’une perte.
Janine Altounian
 
 
 
 
 
 
Débat: 
le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte
Date: 
02/05/2012
Lieu: 
Paris
Langue: 
français