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Tables rondes du 10 septembre 2005 sur « L’impact des mots » organisées par le Quatrième Groupe – Organisation psychanalytique de langue française

Trois tables rondes organisées par le Quatrième Groupe de l'Organisation psychanalytique de langue française proposeront de discuter de trois ouvrages, de disciplines différentes, choisis pour vivifier l’interrogation sur le pouvoir des mots dans la psychanalyse, sa théorie, sa pratique et les effets d’Histoire qu’ils subissent, transportent, transmettent, transforment.

Les questions soulevées par la confrontation de ces ouvrages entre eux et avec l’expérience de l’analyse seront discutées au cours de trois tables rondes qui réuniront plusieurs discutants, mais l’ensemble des discutants qui ont préparé ce projet se propose d’établir des passerelles entre les différents ouvrages.

Ces discutants sont : Janine Altounian, Jean-François Chiantaretto, Janine Filloux, Marie-Claude Fusco, Claude de la Genardière, Ghyslain Lévy, Michelle Moreau-Ricaud, Jean-Louis Quéheillard, Chantal Venier, Christiane Rousseaux-Mosettig, Évelyne Tysebaert, François Villa, Nathalie Zaltzman.

Les ouvrages débattus sont :
- L’écriture de S. Freud. Traversée traumatique et traduction. Janine Altounian, PUF 2003.
Rêver sous le IIIe Reich. Charlotte Beradt, Payot 2002.
- LTI, la langue du IIIe Reich. Victor Klemperer, Albin Michel 1996.

L'analyse de ces trois ouvrages se trouve dans cet article de Nathalie ZALTMAN.

Table ronde du 8 mai 1989 à propos du livre « Exil et Torture » de Maren et Marcelo Viñar – Avec Léopoldo Bleger, Edmundo Gomez Mango, Jacques Hassoun, Serge Leclaire et François Villa


Participation de Janine Altounian à la Table ronde autour du livre Exil et Torture publié en 1989 par Maren et Marcelo Viñar aux éditions Denoël dans la collection Espace analytique, avec Léopoldo Bleger, Edmundo Gomez Mango, Jacques Hassoun, Serge Leclaire et François Villa.

Un couple de psychanalystes uruguayens apporte ici son témoignage sur l'exil et la torture. Ils tentent de ne pas effacer la mémoire d'un vécu (de terreur). La mort demeurant, par là, soutien de la vie pour eux. Si leur discours fait lien social, c'est qu'il s'inscrit au champ d'une lutte politique, voire idéologique. L'éthique qui s'en dégage est non pas une élaboration d'une morale militante, mais une recherche concernant les conditions possibles d'une pratique analytique. Une vérité ne peut que se mi-dire et c'est dans l'action ratée, comme dans un rêve, que se retrouve ce « rogaton de savoir » à assumer comme sujet de l'inconscient. Qu'aujourd'hui les analystes aient gardé un certain effroi de l'inconscient, voire l'horreur d'une vérité qu'ils estiment ne pas avoir à être dite, c'est évident. 

« Un Génocide pour Héritage » : table ronde du 23 juin 2015 proposée par l’Union Arménienne de Suisse (UAS)


Dans le cadre de la commémoration du Centième anniversaire du génocide des Arméniens, L’Union Arménienne de Suisse organise le 23 juin une table ronde autour du thème « Un Génocide pour Héritage »Proposant une approche psychanalytique du traumatisme arménien, juif et tutsi, les intervenants traiteront de la question des «Répercussions des Génocides à travers les Générations».

Avec :

JANINE ALTOUNIAN, traductrice de l’œuvre de S. Freud, écrivain,

MURIEL KATZ, Dr psychiatre, Maître d'Enseignement et de Recherche en psychologie /UNIL,

PATANA MULISANZE, Dr psychiatre, Président de l’Association Santé Mentale Suisse-Rwanda,

PAPAZIAN BERDJ, Dr. psychiatre enfant-adolescent-adulte, psychanalyste SSPsa,

SASKIA VON OVERBECK OTTINO, Dr. ethnopsychiatre, psychanalyste SSPsa,

IRENE NIGOLIAN, Dr. psychiatre adolescent-adulte, psychanalyste SSPsa.

« Les Alphabets de la Shoah. Survivre, Témoigner, Ecrire » : table ronde du 13 janvier 2008 au Mémorial de la Shoah

Janine Altounian : comment vivre après un génocide ?

Après des catastrophes violentes, et en particulier au lendemain d’un génocide, se pose au survivant la question du comment vivre ? Il lui faut trouver la force de se séparer de ses morts parfois plus présents que les vivants qui l’entourent. Quel sens donner à sa survie et comment transmettre une identité qui fut mortelle ? Quel est le statut que la société réserve à ce survivant ? Comment est reçu son témoignage ? Entre nécessité vitale et douleur, quel est son lien à l’écriture ?

En présence de Anny Dayan-Rosenman, maître de conférences en littérature à l’université Paris VII-Denis Diderot et Annette Wieviorka, historienne, directrice de recherche au CNRS.

 » La transmission de l’héritage traumatique  » par Janine Altounian : table ronde du 7 mars 2008 à l’Université du Québec

Janine Altounian : la transmission de l'héritage traumatique

Janine Altounian invitée par le Centre interuniversitaire d'études sur les lettres, les arts et les traditions à l'Université du Québec à Montréal le 7 mars 2008 pour débattre de " La transmission de l'héritage traumatique ".

Participant-e-s :

Janine Altounian (AIRCRIGE, France)
David Benhaïm (Société psychanalytique de Montréal)
Claudie Gagné (Université Trent)
Arpi Hamalian (Université Concordia)
Simon Harel (CELAT, UQAM)
Nellie Hogikyan (CELAT, UQAM)