« Qu’est-ce qu’être enfant de survivants ? » : in Traumatisme et ruptures, Colloque international de psychanalyse, Centre Hospitalier Universitaire, Beyrouth-Liban, oct. 2002.
Colloque international organisé par le Conseil des églises du Moyen-Orient à l'Hôpital Saint Georges, Auditorium Batlouni. 

2002
Qu’est-ce qu’être enfant de survivants ?

4ème de couverture

Témoins de génocides et de violences collectives, nous sommes aussi spectateurs de la fracture entre les économiquement et socialement exclus et les économiquement nantis et socialement dominants. Or, sans soumission, obéissance, conformisme, rien de tel ne pourrait se réaliser. Depuis Milgram, les recherches montrent que, dans les conduites sociales en général et celles d'obéissance et de désobéissance en particulier, le pouvoir des déterminants situationnels l'emporte trop souvent sur les dispositions personnelles.
Editeur : 
L’Harmattan
2002
Dés-obéissance et droits humains : de la psychopathologie à l'anthropologie

Actes du colloque organisé par la BPI les 23 et 24 mars 2001 dans la Petite Salle du Centre Pompidou à Paris

« De l’écriture de soi à l’écriture de l’histoire, il y va d’une construction narrative. Pour autant, tracer une analogie ou même délimiter les rapprochements entre ces deux registres d’écriture n’est résolument pas le propos de ce livre.

Dire l’histoire : le récit historique suppose, entre autres conditions, une adresse, un destinateur et un destinataire. Cette adresse est complexe, destinateur et destinataire étant l’un et l’autre pluriel, mettant à l’œuvre différents réseaux d’interlocution, impliquant tout à la fois de multiples appartenances et le sol commun de l’appartenance humaine.

Editeur : 
BPI
2002
L’écriture de soi peut-elle dire l’histoire ?

Résumé

Des essais qui tentent de saisir le sens des assassinats de masse dans leur mode d'intention et de réalisation. Ils ne cherchent pas à effacer les différences entre les camps et les génocides, mais à mieux les saisir en les mettant en relation les uns avec les autres. Extraits du colloque des Universités de Paris IV-Sorbonne et Reims (mai 1997) : l'homme, la langue, les camps.
Editeur : 
Albin Michel
1999
Parler des camps, Penser les génocides
L'ouvrage rassemble les contributions d'un colloque de 1990 au Centre culturel de Cerisy, "Freud et la psychanalyse : de Goethe et des romantiques allemands à la modernité viennoise" sous la direction de H. et M. Vermorel, et d'A. Clancier, dont on connaît en outre l'activité de critique littéraire. Cette décade de Cerisy s'est attachée à établir et à préciser l'enracinement romantique de l'identité et de l' oeuvre freudienne, en l'articulant avec la judéité et le rationalisme issu des Lumières.

Par Janine Altounian : "De Wagner à Schreber : ambiguïté sémantique et pulsionnelle d’un texte antisémite".
Avec les contributions de :
Janine Altounian, Jacques Ascher, André Bourguignon, Jacquy Chemouni, Michel Due, Jean Gilibert, Jean Guillaumin, Bertrand Méheust, Bernd Nizschke, Darius Gray Ornston, Catheline Parat, Francis Pasche, Jean Rochet, René Roussillon, Henri Vermorel, Madeleine Vermorel, Pérel Wilgowicz.

1995
Freud, judéité, lumières et romantisme
" En souffrir ou en sourire ? Le jeu des racines dans la pensée de Freud " in Freud et le rire, Éd. Métaillé, 1994.
Un recueil d’études de P.L. Assoun, S.D. Kipman, D. Sibony, A.W. Szafran, J. Quackelbeen, M. Elkaim, I. Stengers, C. Javeau, M. Schmouchkovitch, J. Altounian, D. Bertein, N. Feuerhahn, F. Worms, A. Nysenholc.
Editeur : 
Éd. Métaillé
1994
En souffrir ou en sourire ? Le jeu des racines dans la pensée de Freud