Recourant à l’autobiographie et à la psychanalyse, l’auteure témoigne de son expérience d’analysante singulière et cherche à traduire les traces de la disparition d’une culture et de ses lieux afin d’en inscrire l’effacement. Ce travail de traduction requiert plusieurs générations avant que ce qui a pu être « traduit » au « pays d’accueil » s’inscrive dans le champ culturel et politique de celui-ci.