conflits

12 mars 2015 - Limoges - Rencontres de l' IiRCO : "Mémoires des crimes de masse"

 
En partenariat avec l’association Caucase Arménie Plus, l'Institut international de recherche sur la conflictualité, l'IiRCO, oragnise le 12 mars à la Faculté de droit et des sciences économiques de l'université de Limoges les rencontres sur "Mémoires des crimes de masse" .
En matière de crimes de masse, le XXème siècle restera celui de l’épouvante. Il s’est ouvert avec l’extermination des populations arméniennes dans l’Empire Ottoman pendant la Première guerre mondiale, et s’est terminé avec le génocide des Tutsis au Rwanda au milieu des années 1990 et le nettoyage ethnique en Ex-Yougoslavie. Entre ces deux moments, le monde a connu l’immense tragédie de la Shoah, et les massacres systématiques d’une partie du peuple cambodgien par le régime des Khmers rouges de 1975 à 1979.Cette journée d’étude n’a pas pour but de revenir sur les processus de violence de masse (intentions des génocidaires, mécanismes des crimes), champs de recherche largement parcourus ces dernières années. L’approche souhaitée est celle de l’analyse de la mémoire de ces crimes – il s’agit de dresser un état des lieux de la recherche en ce domaine, de revenir sur la gestion des « traces », les tueurs s’étant partout évertués à les effacer –, sur la gestion des politiques mémorielles (étendue, fonction, signification), leur absence ainsi que sur les phénomènes de négationnisme.

12/03/2015
Limoges
Mémoires des crimes de masse

12 mars 2015 - Limoges - Rencontres de l' IiRCO : "Mémoires des crimes de masse"

En partenariat avec l’association Caucase Arménie Plus, l'Institut international de recherche sur la conflictualité, l'IiRCO, oragnise le 12 mars à la Faculté de droit et des sciences économiques de l'université de Limoges les rencontres sur "Mémoires des crimes de masse" .

En matière de crimes de masse, le XXème siècle restera celui de l’épouvante. Il s’est ouvert avec l’extermination des populations arméniennes dans l’Empire Ottoman pendant la Première guerre mondiale, et s’est terminé avec le génocide des Tutsis au Rwanda au milieu des années 1990 et le nettoyage ethnique en Ex-Yougoslavie. Entre ces deux moments, le monde a connu l’immense tragédie de la Shoah, et les massacres systématiques d’une partie du peuple cambodgien par le régime des Khmers rouges de 1975 à 1979.
Cette journée d’étude n’a pas pour but de revenir sur les processus de violence de masse (intentions des génocidaires, mécanismes des crimes), champs de recherche largement parcourus ces dernières années. L’approche souhaitée est celle de l’analyse de la mémoire de ces crimes – il s’agit de dresser un état des lieux de la recherche en ce domaine, de revenir sur la gestion des « traces », les tueurs s’étant partout évertués à les effacer –, sur la gestion des politiques mémorielles (étendue, fonction, signification), leur absence ainsi que sur les phénomènes de négationnisme.
 

15h : Intervention de Janine Altounian, 
Essayiste, membre fondatrice de l’Association internationale de recherche sur les crimes contre l’humanité et les génocides

Le génocide des Arméniens l’héritage traumatique. Exemple de sa transmission chez une « Française d’origine arménienne »

Programme

Mémoires des crimes de masse – Le génocide des Arméniens
12/03/2015
Limoges - Faculté de droit et des sciences économiques

Le " traumatisme " : approches croisées - Séminaire du 10 février 2012 "Mémoires et usages publics de l'histoire en Europe"

Janine Altounian : Exhumer une trace requiert plusieurs générations après un traumatisme

Séminaire "Mémoires et usages publics de l'histoire en Europe", violences, conflits, guerres organisé à Sciences Po le 10 février 2012 par ISP, CEE, CRIA, EHESS, ENS.
10/02/2012
Sciences Po - Paris
Le traumatisme : approches croisées
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