Génocide

À quel autre parlent les héritiers d’un génocide? - Le cas arménien

« À quel autre parlent les héritiers d’un génocide? (le cas arménien) » in Parler des camps, penser les génocides, Textes réunis par Catherine Coquio, Ed. Albin Michel, 1999.
Parler des camps, penser les génocides
16/02/2012
français
À quel autre parlent les héritiers d’un génocide? - Le cas arménien
1999

Après un génocide il n’y a plus d’exil - Comment parler à l’autre quand le fantasme du retour ne parle plus?

« Après un génocide il n’y a plus d’exil - Comment parler à l’autre quand le fantasme du retour ne parle plus? » in Intersignes, n° 14-15, "Clinique de l’exil".
Cahiers Intersignes
16/02/2000
français
Après un génocide il n’y a plus d’exil - Comment parler à l’autre quand le fantasme du retour ne parle plus?
2000

Les survivants d’un génocide non-reconnu peuvent-ils parler en leur nom ?

« Les survivants d’un génocide non-reconnu peuvent-ils parler en leur nom ? » in L’ange exterminateur, revue de l’Université de Bruxelles, 1995. Issu acte de colloque Cerisy 1993 : Des origines et des conséquences des processus d’extermination.
L'ange exterminateur
15/02/1995
français
Les survivants d’un génocide non-reconnu peuvent-ils parler en leur nom ?
1995

À la recherche d’une relation au père, soixante ans après un génocide

« À la recherche d’une relation au père, soixante ans après un génocide » in Les Temps Modernes, déc. 1978, n° 389, Gallimard.
Les Temps Modernes
15/12/1978
français
À la recherche d’une relation au père, soixante ans après un génocide
1978

" Ouvrez-moi seulement les chemins d'Arménie "... : un génocide aux déserts de l'inconscient

Résumé


«Ouvrez-moi seulement les chemins d’Arménie »/ Un génocide aux déserts de l’inconscient (Préface de René Kaës), Les Belles Lettres/ Confluents psychanalytiques, 1990, 2003 (2° éd.).[1]

L'ensemble des textes de ce recueil témoigne de la confluence d'une réflexion historique et d'une élaboration psychanalytique dont on sent les chemins ouvrir progressivement pour Janine Altounian ceux d'une Arménie qu'elle n'avait pu connaître que par des identifications endeuillées.

Ses commentaires, aussi pudiques que le récit que son père nous a laissé de sa déportation, nous confrontent au paradoxe d'une époque qui, en même temps que le développement des conceptions de Freud, a vu et continue de voir se multiplier, dans le fréquent silence complice des nations civilisées, génocides et totalitarismes barbares.

Notes :

[1] Cet ouvrage existe dans une version traduite en arménien par Krikor Chahinian et Garine Zorabian, 2001, Antelias, Liban: ԲԱՙՑ  ՄԻԱՅՆ  ԻՄ  ԴԻՄԱՑ  ՃԱՄԲԱՆԵՐՆ  ԱՐՄԵՆԻՈՅ  de ԺԱՆԻՆ  ԱԼԹՈՒՆԵԱՆ.
On peut se le procurer auprès de Suzy Ohannessian, libraire du Catholicossat d’Antelias/ Beyrouth, tel. 00961 - 4- 41 00 01 00961 -3 - 87 87 46 (mobile) Contact : bookstore@armenianorthodoxchurch.org
[2] Illustration : Persis, Parthia, Armenia : l'Arménie antique, atlas de Joseph Thomas (London, 1835) David Rumsey Collection 
" Ouvrez-moi seulement les chemins d'Arménie "... : un génocide aux déserts de l'inconscient
Janine Altounian
Confluents psychanalytiques
René Kaës
français
1990
246
978-2-251-33444-8
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