Dans le cadre du congrès :
Notre époque se confronte à des guerres plus ou moins proches mais qui ont des effets qui impactent indéniablement notre société. Les répercutions psychiques engendrées sont multiples : l’exil, les remaniements d’inscription de l’identité menacée, les corps amputés, les dislocations familiales. Ces conséquences nous obligent à penser plus que jamais la question du nouage du réel avec l’imaginaire et le symbolique.
Projection du documentaire de 52 min Arménie(s) Le temps des artistes, suivi d’un échange avec les invités spéciaux Robert Guédiguian et Ariane Ascaride.
Discutantes et présidentes de séance : Anahit Dasseux Ter Mesropian et Marthe Dubreuil
• Anahit Dassseux Ter Mesropian : Introduction
• Arménie, Janine Altounian : L’effacement des lieux
• Franck de Montleau : Soutenir les sujets éprouvés par les pertes multiples provoquées par les situations de guerre : quels dispositifs cliniques et voies thérapeutiques ? Réflexion à partir de plusieurs expériences immersives dans des situations de conflit.
• Iran, Houchang Guilyardi :Guerres et démembrement de l’objet
• Liban, Aline Husseini : La pratique psychanalytique face à l’incurable blessure : guerres et le « syndrome libanais ».
Guerres et pertes : Congrès International - Les nouveaux enjeux pour la psychanalyse