Deuil

Interview de Janine Altounian et d'Anahide Ter Minassian dans « Foi et traditions des chrétiens orientaux » sur France Culture le 23 avril 2006


Janine Altounian, essayiste et traductrice est l'invitée de Jean-Pierre Enkiri avec Anahide Ter Minassian sur France Culture dans l'émission Foi et traditions des chrétiens orientaux enregistrée le 21 décembre 2005 et diffusée le 23 avril 2006 à l'occasion de la parution du livre de Janine Altounian L’intraduisible. Deuil, mémoire, transmission publié aux Editions Dunod en 2005 et du livre d'Armenouhie Kevonian traduit de l'arménien en français par Jacques Mouradian en 1993 sous le titre Les noces noires de Gulizar et réédité aux Editions Parenthèses en 2005. 

 

28 mn
français

Débat du Collège International de philosophie autour de la parution en 2005 de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian aux éditions Dunod

Le Collège International de philosophie organise un débat sous la responsabilité de Bertrand Ogilvie le Samedi 8 octobre 2005 de 9h30 à 12h30 autour de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian en présence de l'auteur avec Antonia Birbaum, Jean-François Chiantaretto, Pierre Pachet, Bertrand Ogilvie, Hélène Strapélias.

Retrouvez le débat dans le numéro 58 de la revue Papiers publiée par le Collège international de philosphie en 2007.

Hommage à Pierre Pachet
Nous renvoyons ceux qui ont été affectés par la disparition de Pierre Pachet à ce colloque qui lui a été consacré le 20 & 21 juin 2017 : Pierre Pachet, un esprit aux aguets - « Accepter de se retirer du temps et se tenir sur son bord ».

08/10/2005
Amphi Stourdzé, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission

Interview de Janine Altounian sur radio Canada le 11 mars 2008

Janine Altounian: sortir d'un trauma collectif

Interview de Janine Altounian sur radio Canada par Patrick Masbourian dans son émission Vous êtes ici le 11 mars 2008.

On commence seulement à entrevoir les infinies blessures psychiques dont sont marqués les survivants des génocides du XXe siècle ainsi que leurs descendants. Janine Altounian s'intéresse à la traduction, dans le psychisme, d'un trauma collectif chez les descendants de survivants. Elle était de passage à Montréal la semaine dernière pour donner une série de conférences. 

Janine Altounian est germaniste, essayiste et traductrice de Freud. Née en France de parents survivants du génocide arménien de 1915, elle a beaucoup réfléchi sur la transmission de l'héritage traumatique. Elle était de passage à Montréal à l'invitation du Centre interuniversitaire d'études sur les lettres, les arts et les traditions de l'Université du Québec à Montréal. 
 

La survivance en héritage. Passages de Janine Altounian au Québec

Résumé

La contribution de Janine Altounian "Inscrire l’effacement d’une place dans le monde", qui ouvre  cet ouvrage collectif, a donné lieu à une Interview par Michel Peterson le 8 novembre 2013 à l'occasion de leur voyage d’étude partagé à Istanbul et à Bursa. Voir la très belle édition originale et unique de cet entretien publié sous le titre Alors la vie est belle et imprimé par les presses numériques de Jimmy Machado, UCC Press, le 11 mars 2016, pour le compte des éditions TAMAM en collaboration avec ROBAA (Roads of Bones and Ashes**) et avec le support de la Chaire Oppenheimer en droit international public de l’Université McGill.

Le podcast de l'interview est disponible au bas de la colonne de droite (durée 55 minutes)

L’objectif de cet ouvrage publié en 2013 aux Presses universitaires de Laval est d’explorer la notion de la survivance à partir de différents lieux de parole. Les essais rassemblés ici font écho à un discours qui prend racine dans la transmission de l’héritage traumatique, telle qu’exprimée par l’essayiste française d’origine arménienne, Janine Altounian. À l’ère des migrations et des déplacements culturels accélérés et intensifiés, les auteurs du présent collectif rendent hommage à l’œuvre de cette penseure post-génocidaire en réfléchissant d’une façon originale sur des questions brûlantes: la perte et le deuil, les traces et la traduction, le métissage et la filiation, enfin, le trauma et la bienveillance. Que ce soit une analyse littéraire ou poétique, une réflexion théorique ou une élaboration d’un vécu personnel, les essais de ce livre offrent un travail de culture important concernant la subjectivité interpsychique et interculturelle.

La survivance en héritage. Passages de Janine Altounian au Québec
Sous la direction de Simon Harel, Nellie Hogikyan, Michel Peterson
Intercultures
français
2013
312
978-2-7637-1623-7

" La transmission de l'héritage traumatique " par Janine Altounian : table ronde du 7 mars 2008 à l'Université du Québec

Janine Altounian : la transmission de l'héritage traumatique

Janine Altounian invitée par le Centre interuniversitaire d'études sur les lettres, les arts et les traditions à l'Université du Québec à Montréal le 7 mars 2008 pour débattre de " La transmission de l'héritage traumatique ".

Participant-e-s :

Janine Altounian (AIRCRIGE, France)
David Benhaïm (Société psychanalytique de Montréal)
Claudie Gagné (Université Trent)
Arpi Hamalian (Université Concordia)
Simon Harel (CELAT, UQAM)
Nellie Hogikyan (CELAT, UQAM)

 

07/03/2008
Université du Québec
La transmission de l'héritage traumatique
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"Le travail individuel de deuil" : table ronde du 11 décembre 2005 au Mémorial de la Shoah

Janine Altounian : le travail de deuil est-il possible après un génocide ?

Des praticiens et chercheurs sont venus présenter les travaux existants sur l’impossibilité ou les difficultés du deuil, sur leur expérience avec des patients, victimes directes ou indirectes de la Shoah ou de génocide. 

Avec la participation de Marceline Loridan-Ivens, actrice, réalisatrice. Avec Janine Altounian, traductrice et essayiste, Boris Cyrulnik, neuropsychiatre, éthologue. Animée par Anny Dayan-Rosenman, maître de conférences à l’université de Paris VII.

11/12/2005
Mémorial de la Shoah - Paris
Le deuil est-il possible après un génocide ?
Voir la video
Durée : 2h
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