Violence

Gewalt /Strukturen, Formen, Repräsentationen - Schriftenreihe « Genozid und Gedächtnis », Wilhelm Fink Verlag, München 2000.

Gewalt /Strukturen, Formen, Repräsentationen -  Schriftenreihe « Genozid und Gedächtnis », Wilhelm Fink Verlag, München 2000.

Mit Beiträgen von Janine Altounian : « Erfahrung der Gewalt in der Generationenfolge: Diskussion des Beitrags von K. Beledian (« Die Katastrophe und die Erfahrung sprachlicher Grenzen in der armenischsprachigen Literatur ») aus psychoanalytischer Perspektive »

Gewalt /Strukturen, Formen, Repräsentationen -  Schriftenreihe « Genozid und Gedächtnis », Wilhelm Fink Verlag, München 2000.
Gewalt - Strukturen, Formen, Repräsentationen
allemand
2000

Violence, trauma et mémoire

Violence, trauma et mémoire, sous la coordination de Fadhila Choutri, Casbah Éd. 2001.

Contribution de Janine Altounian : « L’implication indirecte par ”laisser faire“ d’un pays spolie les survivants d’une extermination qu’il a néanmoins ”accueillis“ de toute position d’altérité. Le cas arménien »

Violence, trauma et mémoire
Sous la coordination de Fadhila Choutri
français
2001

Enfants et guerres : Violences- Traumatismes- Réhabilitation ici et là-bas

Actes du colloque de médecins du monde au Palais du Luxembourg, 11 et 12 février 2005.
Contribution de Janine Altounian : « Transmission des maux et mise en mots » in Actes du colloque “Enfants et guerres” Violences- traumatismes- Réhabilitation  ici et là-bas.

Enfants et guerres : Violences- Traumatismes- Réhabilitation ici et là-bas
Actes du colloque de médecins du monde au Palais du Luxembourg, 11 et 12 février 2005
français
2005

États et effets de la violence

L’ouvrage rend compte des travaux du Centre de Recherche Texte et Histoire de l’Université de Cergy-Pontoise, de janvier à juin 2004, dans les séances consacrées à son séminaire annuel dont le thème correspondait au titre général de ce volume : Etats et Effets de la violence. Les douze articles publiés ont été regroupés selon trois axes, arbitraires comme dans toute classification, mais qui ont le mérite d’afficher les points forts des séminaires et de les relier par des relations dont l’objectif est toujours de mieux réfléchir à l’activité de la violence dans des séquences historiques, des aires géographiques diverses, dans l’intime de la conscience individuelle et de l’écriture et le collectif du témoignage quand la violence s’exerce à une grande échelle dans l’Histoire humaine. Comme l’écrit Stephen King, grand maître américain de la représentation romanesque et hallucinante de la violence : « la violence, en tant que solution, court dans la trame de la nature humaine comme un fichu fil rouge ».

Mots clefs : colonisation – USA – violence en littérature – violence en écriture – théâtre

“Écriture et violence de la transmission” in États et effets de la violenceUniversité de Cergy-Pontoise, Centre de recherche, Texte/Histoire 2005.

États et effets de la violence
sous la dir. de C. Chaulet Achour
français
2005

Violence et récit - Dire, traduire, transmettre le génocide et l'exil

Dirigé par Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, professeure des universités en anthropologie de l’Inde à l’Inalco, et chercheuse à l’UMR 245 CESSMA et psychologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny), ce livre, publié aux éditions Hermann en décembre 2020, apporte une lecture inédite des récits de violence, en proposant un parallèle entre les violences génocidaires et les exils contemporains dans une perspective résolument pluridisciplinaire. Face au désastre, peut-il y avoir un récit ? Au sortir du camp de Buchenwald, à l’heure des dizaines de milliers de morts en Méditerranée, que dire, que traduire, que transmettre ? Le récit peut-il prendre forme lorsqu’il s’agit d’attester du mal et de la cruauté, dont la conflagration mine l’écrit ?
La violence empêche le récit lorsque les mots manquent radicalement pour dire l’expérience génocidaire ou exilique. Elle l’abîme, tant sa transmission et son écoute 
sont hypothéquées par le déni et le silence de la société qui le recueille. À travers l’étude de plusieurs formes de récits –  chroniques de ghetto, récits de guerre ou poèmes et fictions  – émerge l’inconscient de l’Histoire qui ne cesse de traduire les expériences de domination et de persécution de populations marginalisées. Comment décentrer la violence pour rendre le récit audible ? Les dispositifs d’écoute, d’interprétariat et de transmission se renouvellent. 

Avec la contribution de Janine Altounian : « Une impossibilité d’histoire en attente d’un possible récit » 

Violence et récit - Dire, traduire, transmettre le génocide et l'exil
Sous la direction de Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsk, avec les contributions de Jean-Yves Potel, Janine Altounian, Soko Phay, Catherine Géry, Florence Prudhomme, Eugénia Vilela, Roberto Beneduce, Marie Vrinat-Nikolov, Elise Pestre, Hala Ghannam Trefi, Laure Wolmark, Bertrand Piret, Christine Davoudian, Raffaela Cucciniello, et Alessandro Triulzi.
français
2020
280
9791037006363

Dans le dehors du monde - Exils d'écrivains et d'artistes au XXe siècle

L'exilé est celui qu'un souverain ou un régime a expulsé de sa patrie sans espoir de retour, ou en le condamnant à l'incertitude du retour. La première émigration russe et l'exil allemand sous Hitler ont porté un coup fatal à l'autorité dont était investie, depuis l'Antiquité, cette figure malheureuse, mais prestigieuse, du conflit entre individu et pouvoir. Quant à la perte de la patrie, elle s'est à la fois élargie jusqu'à devenir une structure de la personnalité - l'« exil intérieur » - et, en sens inverse, affaiblie : de nouvelles formes d'expulsion et d'arrachement sont apparues (persécutions entraînant des demandes d'asile, déportations, génocides), qui rendent la crainte d'une mort inhumaine plus douloureuse que le regret de la patrie.
Ce livre paru en 2010 aux Presses de la Sorbonne Nouvelle, sous la direction de Jean-Pierre Morel, Wolfgang Asholt, Georges-Arthur Goldschmidt, explore ces évolutions en partant de l'exil d'écrivains et d'artistes de nombreux pays, de Nabokov ou Brecht à Gao Xinjiang et Amin Maalouf. Sans que leur sort soit disjoint de celui de millions de gens ordinaires, leurs ouvres esquissent, au-delà des idéologies progressistes ou restauratrices, un autre « paysage du possible ».

Contribution de Janine Altounian : « L’écriture d’un  exilé  comme  seule  voie de retour à un monde assassiné » in Dans le dehors du monde. Exils d’écrivains et d’artistes au XX° siècle, Textes recueillis  par Jean-Pierre Morel, Wolfgang Asholt, Georges-Arthur Goldschmidt et publiés aux Presses Sorbonne nouvelle, 2010, (Acte du colloque de Cerisy, 14-21 août 2006).

Programme du Collège International de Philosophie (CIPh), PARIS | 2010-2016

L'ouvrage est la publication des Actes du colloque de Cerisy qui s'est tenu du 14 au 26 août 2006.

Dans le dehors du monde - Exils d'écrivains et d'artistes au XXe siècle
Jean-Pierre Morel, Wolfgang Asholt, Georges-Arthur Goldschmidt. Avec les contributions de Hans Manfred BOCK, Albrecht BETZ, Jean-Pierre MOREL, Robert KAHN, Anne CLANCIER, Tatiana VICTOROFF, Elena GALTSOVA, Wolfgang Stephan KISSEL, Oksana BULGAKOWA, Hubert ROLAND, Wolfgang KLEIN, Claudie BOLZINGUER, Judith SARFATI LANTER, Agnès VERLET, Brigitte GAUTIER, Anne ROCHE, Alexandre SEURAT, Christoph KÖNIG, Sebastian VEG, Janine ALTOUNIAN, Ottmar ETTE, Jacqueline ROUSSEAU-DUJARDIN et André BOLZINGER
français
2010
368
978-2-87854-478-7

Dictionnaire de la violence

Résumé
S’il y a un thème aujourd’hui qui ne cesse de provoquer des débats, autant en philosophie que dans les autres sciences humaines et sociales, c’est bien la violence. Le but de ce Dictionnaire est de donner tous les outils pour en penser les racines historiques, les manifestations contemporaines, la signification profonde.
Plusieurs questions fondamentales sont au cœur de ce Dictionnaire. Doit-on envisager une spécificité de la violence humaine ? L’idée de nature humaine est-elle pertinente lorsqu’il s’agit de réfléchir à la violence ? Peut-on penser un jour éradiquer la violence, comme l’espérait la philosophie des Lumières, ou doit-on accepter l’idée d’une ambivalence intrinsèque des êtres humains qui, soumis à des pulsions contradictoires, ne sont jamais totalement bons ou totalement mauvais ?
Parler de violence signifie aussi s’interroger sur les frontières qui existent entre soi et les autres et sur l’ambiguïté de sa propre existence ; porter un regard d’ensemble sur des pratiques qui vont de l’apartheid à la torture, de l’automutilation au viol, du colonialisme au terrorisme, mais aussi aborder la sexualité et l’inconscient, le passage à l’acte et l’inceste, le travail et la mort. Ces questions, si diverses, sont ici abordées de façon à constituer une analyse globale et renouvelée de l’objet « violence ».

200 auteurs (philosophes, sociologues, juristes, psychanalystes, historiens, théologiens, anthropologues) ont participé à ce Dictionnaire, unique et original, dont les 300 entrées dessinent une solide cartographie des notions et concepts clés, des penseurs et artistes, des références et travaux portant sur la violence, sujet au cœur de la nature humaine et de la modernité.

Article Traumatisme par Janine Altounian.

Dictionnaire de la violence
Sous la direction de Michela Marzano
PUF
Quadrige dicos poche
français
2011
1538
978-2-13-057734-8

"La temporisation transgénérationnelle, un cas de "Civilité" selon Étienne Balibar" in Jura Gentium - Rivista di filosofia del diritto internazionale e della politica globale :Vol. XII, 2015, Violenza e civilité. Riflessioni a partire da Étienne Balibar

Cet article publié dans le volume XII de la revue Jura Gentium, revue de philosophie du droit international, paru en 2015 est issu des actes du Colloque International d’Istanbul du 7 au 10 mai 2014 : "Violence, Politique, Exil/ Des- exil dans le Monde d'Aujourd'hui " en présence du philosophe Etienne Balibar.

L'ensemble de ce numéro est disponible en texte intégral sur le site de la revue ainsi que librement téléchargeable au format pdf.

L'intervention de Janine Altounian, "La temporisation transgénérationnelle, un cas de "Civilité" selon Étienne Balibar", se trouve à la page 132 et la communication orale donnée à l'occasion du colloque enn 2014 peut également être réécoutée ainsi que l'ensemble des interventions sur le site de l'événement.

Jura Gentium - Rivista di filosofia del diritto internazionale e della politica globale
05/11/2015
français
"La temporisation transgénérationnelle, un cas de "Civilité" selon Étienne Balibar" in Jura Gentium - Rivista di filosofia del diritto internazionale e della politica globale :Vol. XII, 2015, Violenza e civilité. Riflessioni a partire da Étienne Balibar
2015

Séminaire de l'IRIS sur les violences de masse : enquêter par l'intime. Sources, méthodes, épistémologie - Séance du 24 avril : Famille (2). Transmissions, traductions

La séance du 24 avril du séminaire interdisciplinaire de l'IRIS (Unité mixte de recherche associant l’EHESS, le CNRS, l’Inserm et l’Université Paris 13)  animé par Anouche Kunth, chargée de recherche au CNRS (Hors EHESS) et Chowra Makaremi, chargée de recherche au CNRS (IRIS) sera consacrée à : 
"Famille (2). Transmissions, traductions", un thème qui sera abordé plus spécifiquement à travers l'entreprise de traduction, avec Janine Altounian (traductrice et essayiste, auteur notamment des Mémoires du génocide arménien. Héritage traumatique et travail analytique, Paris, PUF, 2009) et Chowra Makaremi (Le Cahier d’Aziz, Paris, Gallimard, 2011).

Ces deux héritières de l'histoire génocidaire se sont livrées respectivement à la traduction du journal du père et du témoignage du grand-père offrant ainsi la possibilité de mettre en regard ces deux expériences de transmission-traduction au cours d'une séance croisée, dont la date n'est pas anodine pour porter une parole symbolique en ce jour de commémoration.

24/04/2017
Locaux historiques de la Maison des Sciences de l'Homme : 54 boulevard Raspail 75006 Paris
Famille (2). Transmissions, traductions

Séminaire de l'IRIS sur les violences de masse : enquêter par l'intime. Sources, méthodes, épistémologie - Séance du 24 avril : Famille (2). Transmissions, traductions

La séance du 24 avril du séminaire interdisciplinaire de l'IRIS (Unité mixte de recherche associant l’EHESS, le CNRS, l’Inserm et l’Université Paris 13)  animé par Anouche Kunth, chargée de recherche au CNRS (Hors EHESS) et Chowra Makaremi, chargée de recherche au CNRS (IRIS) sera consacrée à : 
"Famille (2). Transmissions, traductions", un thème qui sera abordé plus spécifiquement à travers l'entreprise de traduction, avec Janine Altounian (traductrice et essayiste, auteur notamment des Mémoires du génocide arménien. Héritage traumatique et travail analytique, Paris, PUF, 2009) et Chowra Makaremi (Le Cahier d’Aziz, Paris, Gallimard, 2011).

Ces deux héritières de l'histoire génocidaire se sont livrées respectivement à la traduction du journal du père et du témoignage du grand-père offrant ainsi la possibilité de mettre en regard ces deux expériences de transmission-traduction au cours d'une séance croisée, dont la date n'est pas anodine pour porter une parole symbolique en ce jour de commémoration.

Famille (2). Transmissions, traductions
24/04/2017
IRIS - Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux
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