Ecriture

L’écriture d’un exilé comme seule voie de retour à un monde assassiné

« L’écriture d’un  exilé  comme  seule  voie de retour à un monde assassiné » in Dans le dehors du monde. Exils d’écrivains et d’artistes au XX° siècle, Textes recueillis  par Jean-Pierre Morel, Wolfgang Asholt, Georges-Arthur Goldschmidt et publiés aux Presses Sorbonne nouvelle, 2010, (Acte du colloque de Cerisy, 14-21 août 2006).

Programme du Collège International de Philosophie (CIPh), PARIS | 2010-2016

Dans le dehors du monde. Exils d’écrivains et d’artistes au XX° siècle, Textes recueillis par Jean-Pierre Morel, Wolfgang Asholt, Georges-Arthur Goldschmidt
10/11/2010
français
L’écriture d’un exilé comme seule voie de retour à un monde assassiné
2010

L’étrange survie d’un récit de survivance

"L’étrange survie d’un récit de survivance" in Vivre – SurvivreRécits de résistance, paru aux éditions Téaèdre en 2011, sous la direction de Christine Delory-Momberger & Christophe Niewiadomski.
Vivre – Survivre, Récits de résistance, sous la direction de Christine Delory-Momberger & Christophe Niewiadomski
01/12/2011
français
L’étrange survie d’un récit de survivance
2011

Écrire pour faire parler un silence

Paroles, langues et silences en héritage, sous la direction de Caroline Andriot-Saillant
10/03/2009
français
Écrire pour faire parler un silence
2009

Écrire pour habiter et transmettre une lettre Morte

« Écrire pour habiter et transmettre une lettre Morte »  in Revue des sciences humaines, Transmission et filiations, 301,1/2011, textes réunis par Carine Trévisan et Crystel Pinçonnat, Presses universitaires du Septentrion.

Cet ouvrage interroge l'importance accordée aujourd'hui, dans nombre d'essais critiques portant sur des textes littéraires
allant du XVIIIe au XXIe siècles, à la question de la filiation et de la transmission. Il développe l'hypothèse selon laquelle c'est souvent dans des moments critiques de l’histoire (génocides, émigrations contraintes…) qu’émergent cette question et la nécessité de s’en donner une représentation. Les textes rassemblés ici examinent des liens de filiation souvent problématiques ou brisés et les incertitudes de la transmission. Ils montrent combien peut être pesante l’emprise de l’ascendant sur le descendant, mais aussi, lorsque les pères ou mères sont restés silencieux ou ont été voués à un destin de dénuement, le travail d’enquête et de réparation des descendants. Il s’agit également, par la combinaison d’affiliations multiples, par la réélaboration d’un héritage parfois mortifère, d’échapper à ce qui assignerait à chacun une place, une identité et une appartenance immuable, de se libérer ainsi de l’emprise généalogique.  L’ouvrage examine ainsi comment il peut y avoir une forme d’inventivité lorsque que l’on refuse d’être dans la perpétuation du même, perpétuation mortifère et combien le jeu de la mixité, de la discontinuité, du pluriel permet d’ouvrir l’espace de liberté nécessaire à toute transmission.

Revue des sciences humaines
10/01/2011
français
Écrire pour habiter et transmettre une lettre Morte
2011

Écriture et violence de la transmission

“Écriture et violence de la transmission” in États et effets de la violence, Université de Cergy-Pontoise, Centre de recherche, Texte/Histoire 2005.

Mots clefs : colonisation – USA – violence en littérature – violence en écriture – théâtre
L’ouvrage rend compte des travaux du Centre de Recherche Texte et Histoire de l’Université de Cergy-Pontoise, de janvier à juin 2004, dans les séances consacrées à son séminaire annuel dont le thème correspondait au titre général de ce volume : Etats et Effets de la violence. Les douze articles publiés ont été regroupés selon trois axes, arbitraires comme dans toute classification, mais qui ont le mérite d’afficher les points forts des séminaires et de les relier par des relations dont l’objectif est toujours de mieux réfléchir à l’activité de la violence dans des séquences historiques, des aires géographiques diverses, dans l’intime de la conscience individuelle et de l’écriture et le collectif du témoignage quand la violence s’exerce à une grande échelle dans l’Histoire humaine. Comme l’écrit Stephen King, grand maître américain de la représentation romanesque et hallucinante de la violence : « la violence, en tant que solution, court dans la trame de la nature humaine comme un fichu fil rouge ».

États et effets de la violence sous la dir. de C. Chaulet Achour
05/03/2005
français
Écriture et violence de la transmission
2005

D’une transmission traumatique à sa traduction dans l’écriture

« D’une transmission traumatique à sa traduction dans l’écriture » in La chose traumatique, textes rassemblés par Frank Chaumont et Véronique Meneguini, L’harmattan, Coll. Pratiques de la folie, 2005.
La chose traumatique
05/06/2005
français
D’une transmission traumatique à sa traduction dans l’écriture
2005

Famille sous terreur et conflits “œdipiens“ - Peut-on aimer/haïr père et mère sous la terreur de l’extermination ?

« Famille sous terreur et conflits “œdipiens“ - Peut-on aimer/haïr père et mère sous la terreur de l’extermination ? » in Témoignage et Écriture de l’histoire, Décade de Cerisy 21-31  juillet 2001, sous la direction de Jean François Chiantaretto et Régine Robin, L’Harmattan, 2003.
Témoignage et Écriture de l’histoire, sous la direction de Jean François Chiantaretto et Régine Robin
18/05/2003
français
Famille sous terreur et conflits “œdipiens“ - Peut-on aimer/haïr père et mère sous la terreur de l’extermination ?
2003

Le ”soi“ des survivants dans l’écriture des descendants

 « Le ”soi“ des survivants dans l’écriture des descendants » in L’écriture de soi peut-elle dire l’histoire ? sous la  direction de Jean-François Chiantaretto, BPI en actes, 2002.
L’écriture de soi peut-elle dire l’histoire ? Sous la direction de Jean-François Chiantaretto
18/02/2002
français
BPI
Le ”soi“ des survivants dans l’écriture des descendants
2002
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