Trauma

Seminar : Transgenerationelle Weitergabe von postgenozidalen Traumata „Der Armenische Fall“ Sonntag, 21. Mai 2017

Das Konzept der Weitergabe von psychischen Traumen an die nächste Generation hat sich innerhalb der psychologischen Traumasdiskussion während der letzten 25 Jahre zunehmend etabliert. Dieses Konzept und der Begriff des „postgenozidalen Traumas“ entstanden im Rahmen der Auseinandersetzung mit dem Holocaust. Unsere eigene Betroffenheit und das Interesse an Forschung und Erfahrung auf diesem Gebiet haben uns veranlasst, ein Seminar zu organisieren, um die transgenerationelle Weitergabe von Traumen besser verstehen zu lernen und das post-genozidale Trauma am Fall der Armenier und Armenierinnen zu thematisieren.

Die Seminarsprache ist Deutsch.

Referentinnen:

Frau Miriam Victory Spiegel, Paar und Familientherapeutin 
Frau Professor Janine Altounian, Essayistin und Übersetzerin 

21/05/2017
Suisse, Winterthur
ransgenerationelle Weitergabe von postgenozidalen Traumata „Der Armenische Fall“

Débat du Collège International de philosophie autour de la parution en 2005 de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian aux éditions Dunod

Le Collège International de philosophie organise un débat sous la responsabilité de Bertrand Ogilvie le Samedi 8 octobre 2005 de 9h30 à 12h30 autour de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian en présence de l'auteur avec Antonia Birbaum, Jean-François Chiantaretto, Pierre Pachet, Bertrand Ogilvie, Hélène Strapélias.

Retrouvez le débat dans le numéro 58 de la revue Papiers publiée par le Collège international de philosphie en 2007.

Hommage à Pierre Pachet
Nous renvoyons ceux qui ont été affectés par la disparition de Pierre Pachet à ce colloque qui lui a été consacré le 20 & 21 juin 2017 : Pierre Pachet, un esprit aux aguets - « Accepter de se retirer du temps et se tenir sur son bord ».

08/10/2005
Amphi Stourdzé, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission

Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières - Colloque de la revue "L’Autre, cliniques cultures et sociétés", 8 et 9 décembre 2016

 

Le 18 ème colloque "Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières" de la revue L’Autre, cliniques cultures et sociétés organisé par le Master 2 « Santé, Migrations, Médiations » (S2 MI) et l’association Mana se tiendra le 8 et 9 décembre à l'Université de Bordeaux.

Programme du colloque

Intervention Janine Altounian : "Rôle de la traduction dans l’élaboration du trauma

 

Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières
08/12/2016
Université de Bordeaux - Site La Victoire

Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières - Colloque de la revue "L’Autre, cliniques cultures et sociétés", 8 et 9 décembre 2016


Le 18 ème colloque "Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières" de la revue L’Autre, cliniques cultures et sociétés organisé par le Master 2 « Santé, Migrations, Médiations » (S2 MI) et l’association Mana se tiendra le 8 et 9 décembre à l'Université de Bordeaux.

Programme du colloque

Intervention Janine Altounian : "Rôle de la traduction dans l’élaboration du trauma

 

08/12/2016
Université de Bordeaux - Site La Victoire
Interprétariat en santé : traduire et passer les frontières

Conférence du GREPSY du 13 janvier 2016 : "La curiosité, une voie de transformation du traumatisme ? Une expérience personnelle et son élaboration"

Dans le cadre du cycle de conférences consacré à la curiosité : "Cet obscur objet du désir - Origine et destins de la curiosité", organisé par le GREPSY, Groupe de Recherches en Psychiatrie, Janine Altounian est l'invitée de la prochaine séance du 13 janvier 2016 sur "La curiosité,  une voie de transformation du traumatisme ?  Une expérience personnelle et son élaboration". La conférence sera animée par le psychologue Serge Brézins.

13/01/2016
Centre Hospitalier St Jean de Dieu - Lyon 8 ème
La curiosité, une voie de transformation du traumatisme ?

Conférence du GREPSY du 13 janvier 2016 : "La curiosité, une voie de transformation du traumatisme ? Une expérience personnelle et son élaboration"

Dans le cadre du cycle de conférences consacré à la curiosité : "Cet obscur objet du désir - Origine et destins de la curiosité", organisé par le GREPSY, Groupe de Recherches en Psychiatrie, Janine Altounian est l'invitée de la prochaine séance du 13 janvier 2016 sur "La curiosité,  une voie de transformation du traumatisme ?  Une expérience personnelle et son élaboration". La conférence sera animée par le psychologue Serge Brézins.
Entrée libre sur inscription préalable.

"En m'appuyant sur un témoignage personnel, j'aimerais montrer combien la curiosité, c'est à dire une certaine appétence à l'altérité que l'expérience traumatique a précisément attaquée est, en fait, le seul levier dont dispose l'héritier d'une transmission traumatique pour se dégager de celle-ci et l'élaborer. Nous verrons comment une scène princeps du récit de déportation de mon père a ouvert la voie à mon entrée à l'école puis, plus tard, à mon entrée dans la cure dont un des enjeux essentiels est bien l'instauration de l'altérité dans le sujet. Il faut toutefois préciser en quoi cette naissance du rapport à l'autre différent dépend des conditions politiques que le pays d'accueil offre aux héritiers des survivants aux crimes de masse." 

La curiosité, une voie de transformation du traumatisme ? Une expérience personnelle et son élaboration
13/01/2016
Centre Hospitalier St Jean de Dieu - Lyon 8 ème

La survivance en héritage. Passages de Janine Altounian au Québec

Résumé

La contribution de Janine Altounian "Inscrire l’effacement d’une place dans le monde", qui ouvre  cet ouvrage collectif, a donné lieu à une Interview par Michel Peterson le 8 novembre 2013 à l'occasion de leur voyage d’étude partagé à Istanbul et à Bursa. Voir la très belle édition originale et unique de cet entretien publié sous le titre Alors la vie est belle et imprimé par les presses numériques de Jimmy Machado, UCC Press, le 11 mars 2016, pour le compte des éditions TAMAM en collaboration avec ROBAA (Roads of Bones and Ashes**) et avec le support de la Chaire Oppenheimer en droit international public de l’Université McGill.

Le podcast de l'interview est disponible au bas de la colonne de droite (durée 55 minutes)

L’objectif de cet ouvrage publié en 2013 aux Presses universitaires de Laval est d’explorer la notion de la survivance à partir de différents lieux de parole. Les essais rassemblés ici font écho à un discours qui prend racine dans la transmission de l’héritage traumatique, telle qu’exprimée par l’essayiste française d’origine arménienne, Janine Altounian. À l’ère des migrations et des déplacements culturels accélérés et intensifiés, les auteurs du présent collectif rendent hommage à l’œuvre de cette penseure post-génocidaire en réfléchissant d’une façon originale sur des questions brûlantes: la perte et le deuil, les traces et la traduction, le métissage et la filiation, enfin, le trauma et la bienveillance. Que ce soit une analyse littéraire ou poétique, une réflexion théorique ou une élaboration d’un vécu personnel, les essais de ce livre offrent un travail de culture important concernant la subjectivité interpsychique et interculturelle.

La survivance en héritage. Passages de Janine Altounian au Québec
Sous la direction de Simon Harel, Nellie Hogikyan, Michel Peterson
Intercultures
français
2013
312
978-2-7637-1623-7

Transmission traumatique et écriture

Intervention le 5 octobre 2012, 17h, au  séminaire de Marc Amfreville, Professeur de littérature américaine, Université Paris IV-Sorbonne sur "La représentation du trauma en littérature". 

05/10/2012
Université Paris IV-Sorbonne

Janine Altounian : De la cure à l’écriture. L’élaboration d’un héritage traumatique.


Parution le vendredi 25 mai 2012 aux éditions des PUF, "Hors collection" du dernier livre de Janine Altounian. Dans cet ouvrage, Janine Altounian revient sur un des thèmes fondateurs qui traverse toute son oeuvre autour de  l'élaboration de l'héritage traumatique par le travail de la cure analytique et celui de l’écriture. Le parcours analytique esquissé ici cherche à témoigner de ce qui s’est transmis aux descendants des survivants, tous disparus à présent, du génocide arménien de 1915, nié par l’État turc. Aboutissant à la réappropriation et à l’amour de cette transmission, il peut être lu comme un cas clinique intéressant les psychanalystes et les héritiers de diverses catastrophes historiques. Il montre par ailleurs combien une telle élaboration est également tributaire du poids des valeurs démocratiques au sein du pays d’accueil des survivants.

Voir le livre 

Lire la suite aux éditions des PUF.

 

23/09/2012
Presses universitaires de France

Conférence de Janine Altounian à Kigali (Rwanda) le 12 et 13 novembre 2008

 

Conférence de Janine Altounian le 12 et 13 novembre 2008 à Kigali
 

Survivre à la mémoire insoutenable des violences grâce à son déplacement dans le temps et le lieu de son élaboration

" Malgré votre aimable invitation à ce colloque et bien sûr malgré l’émotion et le plaisir que je ressens à être parmi vous, ma présence ici me semble quelque peu injustifiée pour les raisons que je commencerai par exposer :

Tout d’abord, je demeure hélas sceptique vis-à-vis du propos de notre rencontre car, en héritière de parents survivant au génocide des Arméniens perpétré en 1915 par l’Empire ottoman, j’ai toujours considéré, dans mes élaborations d’analysante, la stratégie du déplacement comme condition nécessaire, aussi bien au travail psychique de deuil qu’au travail politique exigé par le scandale d’un tel héritage. Il m’a semblé jusqu’à maintenant qu’un double déplacement – transgénérationnel et géographique – était indispensable aux héritiers d’un semblable patrimoine meurtrier pour inscrire des violences non subjectivables dans une subjectivité, la leur, et partant celle de leurs contemporains, afin de pouvoir, en leur propre nom, historiciser dans le monde où ils vivent le vécu inouï de leurs ascendants.

Devant s’acquitter d’une dette infinie aux morts, ils ont évidemment à transmettre la mémoire de leurs proches suppliciés, à dénoncer la réalité de ce à quoi ont survécu ceux qui restent en vie. En prêtant ainsi parole à des êtres humains assassinés dans le laisser-faire du monde, ils les remettent et se remettent eux-mêmes en lien avec ce monde-la pour les réinsérer, se réinsérer dans l’histoire d’un monde qui les avait ignorés. C’est par cette remise en lien qu’ils peuvent élaborer ce qui les habite, quelque peu s’en affranchir et inaugurer un nouvel investissement de la vie. "

12/11/2008
Kigali
Traumatisme et déplacement
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