Rencontre

Rencontre le samedi 9 juin à 16h30 avec Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, auteur de "La voix de ceux qui crient" et Janine Altounian - Librairie la Terrasse de Gutenberg


A l'occasion de la parution chez Albin-Michel de La voix de ceux qui crient, en mars 2018, la librairie La terrasse de Gutenberg organise une rencontre à Paris le samedi 9 juin à 16h30 avec son auteur Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, anthropologue et psychologue clinicienne. Janine Altounian, essayiste et traductrice, sera présente pour discuter avec l’auteur.

Adresse : 9 rue Emilio Castelar, 75012 Paris. Métro Ledru-Rollin.

Lire l'article consacré par Télérama à cette parution au format pdf.

 

09/06/2018
Librairie La terrasse de Gutenberg, 9 rue Emilio Castelar, 75012
La voix de ceux qui crient

Rencontre - Débat organisé par la revue L'autre le 19 juin 2017 : "Faire de la diversité une chance. Comment ?” En littérature en clinique et dans la vie


A l'occasion de la parution du 50ème numéro, la revue transculturelle L'autre, pour penser autrement la clinique et les grandes questions de société,  publiée par les Editions la pensée sauvage, organisent une rencontre - débat le 19 juin 2017: 

"Faire de la diversité une chance. Comment ?”

En littérature, en clinique et dans la vie

Avec Valerie Zenatti, écrivaine et traductrice d’A. Appelfeld et Janine Altounian, écrivaine et traductrice de Freud.

Un débat animé par Zoé Varier, D’ici, d’ailleursFrance Inter.

Suivi d’une surprise musicale avec Geneviève Welsh et invités

Accompagnées de Marion Feldman – psychologue, Jonathan Ahovi – psychiatre, Malika Bennabi – psychologue, Thierry Baubet – rédacteur en chef de la revue, Daniel Derivois – psychologue, Marie Rose Moro, directrice scientifique de la revue et l’ensemble du comité de rédaction de la revue.

Lundi 19 juin 2017 de 18H à 21H, à la Maison de Solenn, salle Lebovici, 97 bd de Port Royal, 75014 Paris

19/06/2017
Maison de Solenn - Paris
"Faire de la diversité une chance. Comment ?” - Fécondité de la traduction

Rencontre du 2 mai 2012 du séminaire EHESS « Non-lieux de l’exil » coordonné par Alexandra Galitzine-Loumpet : "le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte"

Cette rencontre s'nscrit dans le cadre du programme de recherche du séminaire de l'EHESS/CNRS « Non-lieux de l’exil » fondé en 2011 par Alexandra Galitzine-Loumpet et Alexis Nuselovici et hébergé à la Fondation Maison des sciences de l'homme (2012-2015).

Coordonnée par Alexandra Galitzine-Loumpet, la rencontre du 2 mai a pour thème " le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte" avec Janine Altounian, Boris Chukhovich et Anouche Kunth.

I
 

02/05/2012
Paris
le désir de traduire naît de l'impossibilité à traduire un plaisir ou une perte

Débat du Collège International de philosophie autour de la parution en 2005 de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian aux éditions Dunod

Le Collège International de philosophie organise un débat sous la responsabilité de Bertrand Ogilvie le Samedi 8 octobre 2005 de 9h30 à 12h30 autour de "L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission" de Janine Altounian en présence de l'auteur avec Antonia Birbaum, Jean-François Chiantaretto, Pierre Pachet, Bertrand Ogilvie, Hélène Strapélias.

Retrouvez le débat dans le numéro 58 de la revue Papiers publiée par le Collège international de philosphie en 2007.

Hommage à Pierre Pachet
Nous renvoyons ceux qui ont été affectés par la disparition de Pierre Pachet à ce colloque qui lui a été consacré le 20 & 21 juin 2017 : Pierre Pachet, un esprit aux aguets - « Accepter de se retirer du temps et se tenir sur son bord ».

08/10/2005
Amphi Stourdzé, Carré des Sciences, 1 rue Descartes, 75005 Paris
L’intraduisible, Deuil, mémoire, transmission

3e Semaine de la mémoire : les femmes dans les génocides du XXe siècle... et aujourd'hui ? Lycée Thierry Maulnier du lundi 27 au vendredi 31 mars 2017 à Nice

Dans le cadre de la Semaine de la mémoire, de l’engagement, de la citoyenneté et de la solidarité internationale, le lycée Thierry Maulnier à Nice accueille chaque année depuis 2015 avec les élèves de 1re technologique et leurs professeurs une programmation variée : expositions, ateliers artistiques, conférences et témoignages, projections de films et représentations théâtrales autour des trois génocides reconnus du XXe siècle.

Cette 3e édition aura pour thème "les femmes dans les génocides du XXe siècle... et aujourd'hui ?
Intervention de janine Altounian le 29 mars à 9h : "Le rôle déterminant des femmes dans la transmission de mon héritage

Détail du programme de la semaine à télécharger au format pdf (colonne de droite).

Voir l'édition précédente de 2016

 

27/03/2017
Lycée Thierry Maulnier à Nice
les femmes dans les génocides du XXe siècle... et aujourd'hui ?

Congrès du CPGF du 7 octobre 2006 : Le sacrifice

Le Collège de Psychanalyse Groupale et Familiale organise un congrès sur le thème : Sacrifier, être sacrifié, se sacrifier

Intervention de Janine Altounian « Hériter d'une enfance sacrifiée »

Argument
Sacrifier, être sacrifié, se sacrifier

Les formes du verbe disent la complexité du processus sacrificiel qui, de plus, opère à plusieurs niveaux connectés entre eux : le sujet, la famille et le groupe, le socius.
Le sacrifice de soi déploie un vaste éventail de renoncements, depuis celui, au quotidien, de la mère qui se rend disponible pour le bébé, jusqu'au don héroïque de soi pour la cause commune, en passant par la vie amoureuse. Mais où s'arrête le don-contre-don par lequel le sacrifice ouvre la voie à la réciprocité positive ? Où commencent le sadomasochisme et l'emprise lorsque l'excès du sacrifice de soi impose sa dette à l'autre ?

Où donc situer la bonne valeur du sacrifice lorsqu'on se rappelle qu'il signifie, de tout temps, une des formes du rapport au sacré, aux puissances tutélaires (les dieux, le surmoi-idéal du moi, l'autorité) et que le sacrifice fait lien entre celles-ci, le sujet et son groupe tout autant qu'il accomplit un meurtre symbolique ?

Mais le mythe et le rite peuvent outrepasser leur fonction symboligène et devenir aliénation, destructivité. Sacrifier l'autre, être sacrifié par l'autre deviennent alors des agirs assujettissants. La paradoxalité fermée, la perversion narcissique, l'incestuel et l'envie seront revisités à la lumière du processus sacrificiel et de son approche anthropologique.

07/10/2006
Le Collège de Psychanalyse Groupale et familiale - Paris
Le sacrifice

Congrès du CPGF du 16 et 17 octobre 2010 : Le Traumatisme dans l’Institution et dans la famille

Le Collège de Psychanalyse Groupale et Familiale invite Janine Altounian
Traumatisme : écriture et transmission

Dans sa conférence intitulée « Traumatisme : écriture et transmission », Janine Altounian se propose d’illustrer, pour reprendre les termes de l’argument du congrès, « en quoi l'autre et le groupe des autres, la capacité à utiliser les proches, l’univers socioculturel - et politique - contribuent au dépassement de la dérive traumatique » et à « la quête de liaison par la symbolisation », en l’occurrence, l’écriture :

« Mon propos s’énoncerait en somme ainsi: « Passer par la cure pour passer du mutisme partagé ”en famille” à l’écriture de ce qui s’y transmet ». Il portera sur le travail de l’analyse et celui de l'écriture auquel il a donné naissance qui, au terme de quarante années, ont créé à partir d'un corpus traumatique d’ancêtres fantômes, une inscription de cette transmission dans la langue et l'espace socio-politique de son héritier. Les trois points développés en seront: -1 Un temps de latence est nécessaire à la naissance d’une écriture, -2 L’impact traumatisant d’un manuscrit donne d’abord lieu à son commentaire par déplacement, -3 La conversion d’une absence de parole en une écriture rend publique sa transmission : Première étape : l’enfermement dans une humanité endeuillée, Seconde étape : l’ouverture au monde par la cure, la curiosité culturelle et l’irruption du politique.

16/10/2010
Le Collège de Psychanalyse Groupale et familiale - Paris
Traumatisme : écriture et transmission

Présentation le 2 décembre 2013 par Janine Altounian à l'ÉPIC (École de Psychiatrie Institutionnelle ) de son livre "De la cure à l’écriture, L’élaboration d’un héritage traumatique"

Présentation le 2 décembre 2013 De la cure à l’écriture, L’élaboration d’un héritage traumatique, PUF, 2012 à l'ÉPIC, École de Psychiatrie Institutionnelle à la Clinique de La Chesnaie (Loir et Cher) .
Dans un dialogue avec Anne Marie Haas, psychologue à la Chesnaie, ainsi qu'en répondant aux questions de la salle, l'auteur présente les différents thèmes de son dernier livre en lien avec son parcours depuis l''écriture de son premier texte de 1975 et ses élaborations mises en œuvre dans la cure.
Parcours entre la traduction de Freud et des essais sur la transmission traumatique. Élaboration du trauma par la cure et l'écriture.

02/12/2013
École de Psychiatrie Institutionnelle à la Clinique de La Chesnaie (Loir et Cher) .
De la cure à l’écriture, L’élaboration d’un héritage traumatique

Quelle résilience face aux traumatismes contemporains ? Rencontre au Mémorial de la Shoah le dimanche 29 mai

Rencontre du 29 mai au Mémorial de la Shoah : Quelle résilience face aux traumatismes contemporains ?

70 ans après la Seconde Guerre mondiale, les générations de rescapés, leurs enfants et petits enfants subissent encore les vagues d’ondes des traumatismes de la Shoah. Ces traumatismes sont-ils réactivés par les événements contemporains ? Comment faire la part entre ce qui est dû au passé et ce qui est dû au présent ? Comment concilier la connaissance de ce passé traumatique avec ce présent sans faire d’amalgame ?

 

29/05/2016
Mémorial de la Shoah - Paris
Quelle résilience face aux traumatismes contemporains ?

12 mars 2015 - Limoges - Rencontres de l' IiRCO : "Mémoires des crimes de masse"

 
En partenariat avec l’association Caucase Arménie Plus, l'Institut international de recherche sur la conflictualité, l'IiRCO, oragnise le 12 mars à la Faculté de droit et des sciences économiques de l'université de Limoges les rencontres sur "Mémoires des crimes de masse" .
En matière de crimes de masse, le XXème siècle restera celui de l’épouvante. Il s’est ouvert avec l’extermination des populations arméniennes dans l’Empire Ottoman pendant la Première guerre mondiale, et s’est terminé avec le génocide des Tutsis au Rwanda au milieu des années 1990 et le nettoyage ethnique en Ex-Yougoslavie. Entre ces deux moments, le monde a connu l’immense tragédie de la Shoah, et les massacres systématiques d’une partie du peuple cambodgien par le régime des Khmers rouges de 1975 à 1979.Cette journée d’étude n’a pas pour but de revenir sur les processus de violence de masse (intentions des génocidaires, mécanismes des crimes), champs de recherche largement parcourus ces dernières années. L’approche souhaitée est celle de l’analyse de la mémoire de ces crimes – il s’agit de dresser un état des lieux de la recherche en ce domaine, de revenir sur la gestion des « traces », les tueurs s’étant partout évertués à les effacer –, sur la gestion des politiques mémorielles (étendue, fonction, signification), leur absence ainsi que sur les phénomènes de négationnisme.

12/03/2015
Limoges
Mémoires des crimes de masse
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